Les principaux écueils de validation XHTML 1 transitionnel
… quelques petits retours d’expériences de validation…
Juste 3 ou 4 éléments simples qui peuvent faire gagner du temps aux amoureux du beau code validé :-* !
Les validations se font d’ordinaire sur le site du W3
L’interêt majeur pour le développeur est la compatibilité espérée de son code (et donc de sa charte graphique..) avec la majorité des navigateurs actuels, et la relative promesse de la pérénité de celui-ci…
Il ne sera pas tenu compte ici des erreurs de validation liés aux erreurs de code (balises ouvertes et non fermées en particulier), mais des erreurs associées à du code HTML4 correct.
En cas d’oubli de l’en-tête de déclaration du type de document (DOCTYPE):
<!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd">
<html xmlns="http://www.w3.org/1999/xhtml">
La validation est carrément bloquée :
Sinon un message apparait clairement spécifiant les erreurs (avec parfois des explication sybillines …) !
Premier grand classique des codes non valides : les oublis des attributs ALT pour l’affichage des images.
Rappel rapide : il s’agit du texte ALTernatif qui va s’afficher sur les parseurs (navigateurs ou autres afficheurs de code XHTML). XHTML a un soucis permanant de permettre cette polyvalence d’affichage, y compris des images.
Second classique des erreurs de validation : les attributs javascripts ou autres en majuscules.
Rappel : XML est sensible à la casse… donc OnMouseOver ne passera pas, alors que onmouseover passe très bien !
Par défaut, toutes les balises et tous les attributs sont donc à écrire en caractères minuscules.
3eme classique enfin : les utilisation de caractères spéciaux, en particulier les éperluettes (&) insérées dans les URL par exemple avec des variables à envoyer en GET (cible.php?truc=1&machin=2)
XML encode tous ces caractères dans les URL, dans le cas ci-dessus, il faudra écrire : cible.php?truc=1&machin=2
Restent enfin les balises de type block (DIV) par exemple) insérées dans les balises de type inline (SPAN par exemple), et l’essenciel des causes d’erreurs sera évité : apparait enfin le tant attendu feu vert :
qui permettra pour les puristes l’affichage du logo des sites validés !
NB : une erreur non fatale en XHTML transitionnel, mais qui entraine une mise en garde souvent mal comprise, est l’oubli de précision du type de langage utilisé, ou l’encodage, via une balise META.
Par exemple pour un site en Français, donc comportant des caractères dit « spéciaux » (accents, cédilles, etc…), il faudra préciser que l’encodage est de type iso-8859-1 ainsi : <meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=iso-8859-1" /> :))
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