Plutôt que de surcharger les pages d’explications, une petite bulle d’aide en CSS discrète est souvent bienvenue.

Celle que je propose ici est légère, s’active au survol de la souris, et présente l’avantage de pouvoir incorporer des mises en forme HTML (gras, retour à la ligne, etc.)

C’est une demande récurrente de clients : « Faites-moi un champ de saisie de texte où on peut mettre du gras, de l’italique, des listes et des couleurs, comme Word« … L’objectif étant bien entendu de récupérer cette mise en forme, en général pour la stocker dans une base des données.

HTML ne permettant pas ce type de fantaisies, il faut donc se tourner vers les « éditeurs de texte » open-source. Il y en a quelques uns, je présente ici l’intégration de Tiny-MCE. C’est à la fois l’un des plus abouti, et des plus simple d’utilisation. C’est celui qu’a choisi le N°1 des moteur de blog (WordPress) : ce n’est pas pour rien…

DatePicker est l’un des widgets proposées gratuitement par le moteur JavaScript JQuery-UI. Nous en avions parlé dans un article précédent (cf. Autocomplétion du champ de texte avec JQuery-UI) : cet outil est un peu une « usine à gaz » mais les résultats sont néanmoins assez éblouissants…

La fonctionnalité présentée ici est un petit calendrier d’aide à la saisie qui remplit automatiquement la date dans un champ de texte lorsqu’on sélectionne un jour. Finis les jj-mm-AA ou jj/mm/AAAA : le champ sera auto-rempli, et surtout, il est au bon format si vous avez besoin par exemple de la stocker, par exemple, dans une base des données.

Le problème des pages dynamiques (dont le contenu est extrait d’une base des données), c’est qu’on ne peut pas prévoir la hauteur de la page. Les calques relatifs se positionnant par empilement, on ne peut donc pas compter sur les calques supérieurs pour coller un pied de page (footer) en bas…

L’issue CSS est pourtant simple.

L’auto-complétion consiste à proposer une pré-sélection de valeurs dans le champ texte d’un formulaire.
Ces valeurs sont extraites à la volée d’une base des données, et contiennent le caractère (ou la chaîne de caractères) déjà saisi par l’utilisateur.

Cette fonction utilise AJAX (JavaScript + PHP), c’est à dire qu’il n’est pas nécessaire de recharger une page pour extraire dynamiquement et afficher les valeurs souhaitées depuis une base des données. Le moteur utilisé dans cet exemple est JQuery-UI (puissant JavaScript opensource)

Il n’est pas question ici de se lancer  dans un tutoriel sur Google Analytics (qui est une usine à gaz, comme tous les « services » développeurs de Google, mais indispensable, comme tous les « services » développeurs de Google…)

Je vous propose simplement ici une piste, pour suivre en détails vos statistiques des visites d’un WordPress.

Qui n’a pas eu à redresser une ligne d’horizon ou d’un bâtiment à la perspective chaloupant sur une photo ?!

La plupart des outils de retouche-photos grand public (smartphones, Picasa, etc.) incorporent nativement cette option élémentaire.  Bizarrement ce n’est pas très intuitif sur Photoshop.

Petit tuto sur 4 méthodes simples de redressement.

Si vous utilisez plusieurs écrans pour travailler (c’est mon cas, les écrans des ultra-portables étant de plus en plus petits, j’ai un 2nd, voire un 3eme écran affichés en « bureaux étendus »), cela vous est surement arrivé… L’intérêt est de positionner des fenêtres à droite et à gauche de l’écran principal, afin avoir un visibilité simultanée de plusieurs fichiers ou logiciels ouverts.

Il arrive parfois, lorsqu’un écran périphérique s’éteint ou tombe en panne, par exemple, que l’une des fenêtres positionnée sur cet écran externe ne s’affiche plus sur l’écran principal. Et ce, même après redémarrage de Windows…

Pas de panique, la solution est simple (quand on la connait… comme toujours !)

Les standards du web nous ont habitués à voir un peu toujours les mêmes ~20 polices de caractères sur les sites web…

Et quel dommage ! Il existe plus de 800 familles de polices de caractères gratuites et utilisables très simplement : les Google Fonts.

Mode d’emploi ici :

Tout développeur qui se respecte a eu un jour (au moins !) besoin d’envoyer des e-mail depuis un site en développement local. Ne serait-ce que pour  tester la mise en forme du sacro-saint formulaire de contact…

Ceux qui utilisent la plateforme de développement web sous Windows WampServer ont pu constater qu’elle n’intègre plus par défaut de serveur d’envoi des e-mails. L’envoi d’un e-mail génère au mieux : rien du tout; au pire : un message d’erreur (Failed to connect to mailserver at « localhost » port 25, verify your « SMTP » and « smtp_port » setting in php.ini…  etc.)

Il existe une solution simple et efficace : le serveur SMTP ( (Simple Mail Transfer Protocol)  Fake Sendmail for Windows !